Retrouvant son habituelle unanimité, le conseil a expédié rapidement les dossiers décisionnels après une période de questions du public sans éclats.
Alors que la dernière séance ordinaire du conseil avait donné lieu à un rarissime vote, aucune des motions n’a été débattue publiquement par les membres du conseil avant d’être adoptée. À peine une dizaine de questions ont été adressées au conseil, dont trois portaient sur les nouveaux horaires de collecte des matières résiduelles.
L’apaisement et la planification de la circulation à l’ordre du jour
Après avoir modifié la limite de vitesse sur les rues locales en 2015, le Plateau limitera bientôt la vitesse à 40 km/h sur toutes les artères, a annoncé la conseillère d’arrondissement du district de Lorimier, Marianne Giguère. « On a parlé beaucoup de la vision zéro », explique la conseillère responsable des dossiers de transport qui souligne que la réduction de la vitesse réduit exponentiellement le risque d’accidents graves en plus de réduire le niveau de bruit, d’améliorer la qualité de l’air… et d’accroitre la fluidité.
Pendant la période de questions, plusieurs citoyens ont soulevé d’autres enjeux liés à la sécurité routière.
Philippe Morin, résident de la rue Marie-Anne, a déposé une pétition de 401 noms pour demander une sécurisation à court terme de la traverse piétonne à l’angle de la rue Cartier. La traverse « est complètement ignorée par les automobilistes », s’inquiète le père de famille, dont les 3 enfants fréquentent le CPE le Sablier, qui souligne avoir obtenu l’appui de la commission scolaire et de l’administration de l’École secondaire Jeanne-Mance dans sa démarche.
Utilisée couramment comme voie de contournement de la congestion sur Papineau Sud, la rue Cartier est l’une de ces « petites rues qui fait les frais de l’interdiction de tourner sur une artère », reconnaît le maire d’arrondissement, Luc Ferrandez, qui ne voit cependant aucune solution à court terme, hormis une présence policière accrue. Il explique vouloir attendre que le projet de transformer de Papineau et de Lorimier en sens unique se confirme avant d’intervenir à moyen long terme sur la planification de la circulation dans ce secteur.
La planification de circulation sur la rue Roy a également été abordée, en lien avec le projet de piétonnisation annoncé le mois dernier. « On procède par étape afin de mesurer les impacts », explique le conseiller de Ville du district Jeanne-Mance, Alex Norris, en réponse à une question d’un citoyen qui s’inquiète de voir la rue Roy devenir « la voie de service de l’avenue des Pins ». Le conseiller s’est par ailleurs engagé à donner suite aux demandes d’installations de dos d’âne sur la rue de Bullion, souvent empruntée par des automobilistes pour éviter le boulevard Saint-Laurent.
Logement abordable : l’arrondissement remonte la barre
Une nouvelle version de la politique d’inclusion de logement abordable a également été déposée en conseil. Cette seconde mouture de la politique adoptée en 2015 « vient confirmer nos intentions », explique le conseiller de ville pour le district du Mile End, Richard Ryan, qui souligne que le montant de compensation par unité a été majoré à 21 000 $ et que les seuils d’inclusion ont été rehaussés à 40 % dans les projets de 50 à 99 unités à 50 % dans les projets de 100 unités et plus.
« On surveille de très près la loi sur la métropole », ajoute le conseiller responsable des dossiers de logement. Le projet de loi déposée n décembre donnera à la Ville le pouvoir de contraindre les promoteurs à inclure du logement abordable dans les projets immobiliers, mais il reste à voir si la Ville centre imposera un règlement centralisé sur l’inclusion ou si elle permettra aux arrondissements de définir leurs propres règles.
Pour plus de détails sur les dossiers, consultez les sommaires décisionnels ou les faits saillants de la séance.
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