Top 5 des espaces de coworking sur le Plateau

La Plateau, où plus d’une personne sur 10 travaille à son compte, abrite un nombre croissant d’espaces de travail partagé, ou coworking.

La paternité de ce concept est attribuée à Brad Neuberg, un ingénieur produit chez Dropbox, qui a fondé le premier espace du genre en Californie, il y a dix ans.
Le phénomène, aujourd’hui répandu mondialement, est particulièrement populaire chez les pigistes dans le secteur dit de l’économie créative, qui est bien implantée sur le Plateau. Voici une liste (non exhaustive) des espaces de coworking sur le Plateau.
1) ECTO
Coopérative fondée en 2008 et établie depuis l’an dernier dans des nouveaux locaux sur Mont-Royal, ECTO est l’un des premiers espaces de coworking à avoir vu le jour à Montréal.
2) La Gare
L’espace collaboratif La Gare se présente comme un « lieu de travail, rencontre et apprentissage ». Situé au cœur du Mile-End, La Gare a d’ailleurs accueilli cette semaine le 4@7 annuel du Secteur Saint-Viateur Est.
3) La Halte 24-7
Établi sur la rue de la Roche, à deux pas du parc Lafontaine, la Halte 24-7 est un espace destiné autant aux entrepreneurs indépendants et qu’aux micro-entreprises.
4) Nexus Workspace
Combinant les fonctions de centre d’affaires et d’espace de coworking, Nexus Workspace a pignon sur la rue Clark depuis 2011.
5) Station C
Ancrée dans un esprit de communauté et dans une philosophie de collaboration typiques du coworking, la Station C fait office de bureau, de salon et d’incubateur d’entreprises. Elle héberge également des événements comme les rencontres techno-activistes du mouvement TA3M.
… Et bien d’autres!
La liste des espaces de coworking s’allonge constamment. Un petit nouveau, Temps libre Mile-End, ouvrira ses portes lundi prochain (29 février).

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Pamplemousse.ca a obtenu en primeur une visite sur les lieux qui étaient encore en chantier mercredi soir. (Photo : Simon Van Vliet)

L’espace de 8 500 pieds carrés hébergera notamment le premier espace de coworking pour parents au Québec.
À lire lundi : une entrevue avec la directrice générale de la coopérative de solidarité à l’origine de ce projet, Gaëlle Généreux.